Petit crochet par les Bauges

Entre Briançon et la Maurienne, petit arrêt au col du Galibier

 Zoom du col sur la face nord de la Meije

 Pas de jaloux ! Idem avec la barre et le dôme en fin de journée

 Le lendemain au sommet du Mont de Margeriaz dans les Bauges

 En cherchant bien au fond, il y a le Mont Blanc !

Très joli les Bauges, on croirait le Jura planté au coeur des Alpes

Col d'Izoard par Guillestre

Pour récupérer tranquille petit tour de vélo entre Embrun et le col d'Izoard en empruntant le parcours de l'Embrunman. Arrivés à Guillestre, surprise, une méga floppée de vélos sont au départ de la "Risoul - Queyras", une grosse cyclo du coin. On en profite pour prendre le train et traverser la combe du Queyras sans voitures ! La suite est soutenue mais abordable. La traversée de la Casse déserte est magnifique. Retour par le même chemin avec une descente plein pot sur un super billard... 120 kms, j'arrive un peu cramé, le balcon de la Durance est magnifique et coupe patte : rien n'est plat, bonjour le marathon de l'Embrunman !

Arnaud au col

En redescendant, arrêt "pèlerinage", à la Casse Déserte, lieu mythique du cyclisme...

Pic Coolidge 3775m par le glacier noir

Départ très matinal du pré de Mme Carle pour assister au lever du soleil sur la face sud de la barre et le Coolidge à gauche du Fifre. Les faces nord du Pelvoux et du pic sans nom sont encore dans l'ombre.

 Arnaud sur le glacier noir

 Un peu plus loin sous le coup de Sabre et en approchant la face nord de l'Ailefroide.

 Au col de la Temple, on devine à gauche le départ des vires dans un cadre royal...

 Plus loin, suite à un ingénieux système de vires, on se retrouve sur le glacier supérieur et l'avant sommet.

 L’ascension finit par une arête aérienne plein gaz sur le glacier noir et face à la paroi sud de la barre.

 Le panorama du Coolidge est réputé à juste titre !

 Retour par les vires, ne pas oublier de regarder la route même si le paysage est joli...

Retour avec les faces nord dans la lumière

 Final sur la moraine du glacier noir avec le coolidge au centre, sans nom à gauche, la barre à droite... Une bonne journée...

Brasserie Alphand à Vallouise : 2200m de D+ et 11 heures plus tard... Celle-là, elle ne va pas avoir le temps de voir le jour !

Pelvoux : Pointe Puiseux 3943m

Vue du balcon du refuge du Pelvoux : la pointe Guyard et Celse Nière

Le refuge et les "rochers rouges" en fond

La zone de bivouac derrière le refuge

Le lendemain, au niveau du resserrement du couloir Coolidge

Au sommet, temps bouché sur l'Ailefroide et les Ecrins

Le très esthétique glacier du Pelvoux

Devant la face sud de la barre

A gauche le pic sans nom et l’arête de Sialouze, à droite la couloir...

Retour vers le refuge

Été 2012 : entre Queyras, Écrins et Italie

 Arrivée inédite par Barcelonette et le col de Vars : au fond à gauche la Font sancte

 En descendant sur Guillestre vue imprenable sur le PPPPelvoux (le gros blanc à droite)

Quelques jours plus tard avec Arnaud, on franchit le col Agnel pour tenter le Viso et on se retrouve dans une méga poutrouille au Bivacco Forciolline (un refuge non gardé magnifique).

Le lendemain BUT !!!!!!!!!!! On part avec radars et sonars et on lâche l'affaire vers 3200m sous le bivouac Andréotti avec 10 cms de neige sur la caillasse. Le Viso, on ne le verra que depuis les sommets des Ecrins ! En fait, il fait assez souvent mauvais coté italien avec des retour d'Est ou les brouillards du Po.

Session 2011 - J7 : Pelvoux-La Blanche (1800m pour finir les restes)

Journée bouchée sur le Pelvoux... Une petite "blanche" s'impose ! Avec un tel cairn sommital, on ne peut pas la louper ! (Qui plus est, c'était fermé à la brasserie Alphand de Vallouise...)

Session 2011 - J6 : L'Aupillon express

On n'avait jamais fait l'Aupillon aussi vite ; il faut dire que l'on était attendus au resto de "La Portette" avec moult Génépi et autres "Bois Blonds". Ponctuels comme il se doit, nous mimes un point d'honneur à respecter les horaires impartis ! Une journée bien remplie (sic).

Le valon de l'Eissalete et le lac sainte Margerite

Il parait qu'il faisait mauvais temps dans les Pyrénées (c'est ballot !)  

Le versant Ubaye a bien chargé !

On se dépêche de redescendre car les picons réchauffent en terrasse (et il n'y a rien de pire qu'un picon tiède, enfin, c'est ce que l'on m'a dit car je n'ai jamais eu l'occasion de le constater)